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57sur lui)) est faite entre Jean et tous les Prophètes (paix sur eux) l'ayant précédé en tant que les officiers et les administrateurs du Royaume des Cieux. Maintenant, selon l'ordre chronologique le dernier Prophète serait le moindre et le plus jeune d'entre eux. Le mot « zi’ra » dans l'araméen, comme l'arabe \le mot « zi’ra » ou « z'eira » en apposition à \âgé\Prophète, et donc il ne peut pas être le « moindre », puisque non seulement les Messagers eux-mêmes ont été dotés de la prophétie, mais aussi beaucoup d'autres Saints dans l'âge apostolique ont en été favorisés1 (Act xi 27, 28 ; xiii I ; xv 32 ; xxi, 9, 10, etc.).En outre, comme nous ne pouvons pas déterminer lequel de ces nombreux Prophètes d’Eglise était le \naturellement obligés de chercher ailleurs un Prophète qui est incontestablement le dernier et le Sceau des Prophètes. Pourrait-on imaginer une preuve plus forte et plus brillante en faveur de Mohammad (que la paix et le salut soient sur lui) que l'accomplissement en sa saintepersonne, de cette merveilleuse prophétie de Jésus-Christ (paix sur lui) ?Dans la longue liste des Prophètes, le plus « jeune » et le « moindre» d'eux est certainement Mohammad (que la paix et le salut soient sur lui) ; il est le « Benjamin » des Prophètes ; pourtant il est leur Sultan, leur « Maitre» et leur « Gloire ». La négation du caractère et de la nature prophétique et apostolique de la mission de Mohammad (que la paix et le salut soient sur lui) est un déni fondamental de toute la Révélation divine et de tous les 1 A moins que l'auteur ne discute ce point comme implication de l'admission Chrétienne, il est impossible –dans l'Islam- qu'une personne reçoive la révélation divine sans qu'il ne soit un prophète ou un messager, puisque la marque de la prophétie est la réception de la révélation (Le traducteur).